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Présentation de l’Oscillateur à Ondes Multiples selon Georges Lakhovsky

Fort de sa théorie sur l’oscillation cellulaire, Georges LAKHOVSKY a eu l’idée en 1923 de créer un champ électromagnétique produisant une onde entretenue modulée très courte, sur une fréquence unique comprise entre 2 et 10 mètres de longueur d’onde. Il créa le premier appareil utilisant ces ondes courtes, nommé radio-cellulo-oscillateur, avec lequel pendant six ans, à la Salpetrière, il a pu guérir des plantes inoculées du cancer et obtenir des guérisons du cancer humain, tout en enregistrant quelques échecs.
Le succès de ses expériences franchit les frontières et dans beaucoup de pays on commença dès 1928 à construire des oscillateurs à ondes courtes avec une énergie supérieure à celle de son appareil et produisant des effets thermiques.
Or, Georges LAKHOVSKY releva que ces effets thermiques pouvaient être dommageables sur les malades, car il n’y a pas deux individus sur terre qui aient les mêmes caractères, le même aspect, les mêmes qualités et, par suite, les mêmes constantes physiques et chimiques, c’est-à-dire électriques… Ainsi, une onde de 4 mètres, par exemple, qui convient à un certain individu, peut être néfaste pour un autre. Il écrivait : « Si l’on exagère la puissance et la durée d’irradiation, on arrive à détruire trop de cellules et à provoquer la dégénérescence de l’organisme, d’où l’affaiblissement de l’état général et parfois la mort ».
C’est pourquoi, il a renoncé à utiliser les ondes courtes à effets thermiques, émises sur une longueur d’onde unique, et cherché à les remplacer par un champ électrostatique donnant toutes les longueurs d’onde depuis 3 mètres jusqu’à l’infrarouge et ne produisant pas d’effet thermique.
Physicien, il savait qu’un circuit alimenté par des courants de haute fréquence amortis, suscite de nombreux harmoniques. Il a donc eu l’idée de créer en 1931 un oscillateur à longueurs d’onde multiples (OLOM), dans le champ duquel chaque cellule, chaque organe, chaque glande, chaque tissu, chaque nerf, pût trouver sa fréquence propre.
L’OLOM, avec ses deux résonateurs, crée un champ magnétique ambiant entre deux éléments qui donne toutes les longueurs d’onde fondamentales de 10 centimètres à 400 mètres. Mais chaque circuit émet, en outre, de très nombreux harmoniques, qui, avec leurs ondes fondamentales, leurs interférences et les effluves, peuvent atteindre jusqu’à la gamme de l’infrarouge et même de la lumière visible (1 à 300 trillions de vibrations par seconde). Comme toutes les cellules et même les chondriomes oscillent précisément sur des fréquences de ces gammes, ils peuvent ainsi trouver, dans le champ d’un tel oscillateur, les fréquences qui leur permettent de vibrer en résonance.
Georges LAKHOVSKY a présenté son appareil au Congrès International des Ondes Courtes à Vienne (juillet 1937) avec la publication des résultats thérapeutiques obtenus au moyen de celui-ci tout en rappelant sa théorie de l’oscillation cellulaire. À ce congrès, il affirmait que : « Depuis sept ans que mon oscillateur à longueurs d’ondes multiples a produit dans le monde entier les guérisons des maladies les plus graves, comme le cancer par exemple … je peux affirmer qu’on n’a constaté aucune contre-indication …».

Sa théorie de l’oscillation cellulaire.


Toute cellule vivante est composée de deux éléments essentiels, le noyau et le protoplasme, dans lequel il baigne. Ce noyau est lui-même constitué par un grand nombre de filaments tubulaires : les chromosomes. En outre, des centaines de filaments beaucoup plus petits, les chondriomes, baignent dans le cytoplasme. Chromosomes et chondriomes sont formés d’un tube en matière isolante (cholestérine, résine, graisse, plastrine, etc..) à l’intérieur duquel se trouve un liquide, sorte de sérum contenant tous les minéraux de l’eau de mer, et par suite, conducteur de l’électricité. De sorte que ces filaments constituent des circuits oscillants ultramicroscopiques, susceptibles d’osciller électriquement sur une large gamme de longueurs d’onde très courtes.
Il a montrés dans ses ouvrages : « Que ces circuits oscillants cellulaires, chondriomes et chromosomes, vibrent électriquement sous l’action des ondes électromagnétiques ambiantes : ondes cosmiques, atmosphériques et telluriques » précisant que : « Le chondriome est beaucoup plus petit que le chromosome et par conséquent il vibre à une fréquence beaucoup plus considérable ».
Or, de nombreuses causes extérieures et intérieures peuvent provoquer le déséquilibre oscillatoire de ces cellules. Par exemple, la variation du champ des ondes cosmiques, atmosphériques et telluriques, la déminéralisation de la matière organique constituant la substance cellulaire, les traumatismes provoquant la destruction par choc du protoplasma ou du noyau.
Dans tous ces divers cas, l’oscillation cellulaire peut s’arrêter : c’est alors la mort de la cellule. Mais dans la cellule morte, subsistent les chondriomes qui continuent parfois à osciller électriquement à leur fréquence propre. Les chondriomes s’enveloppent alors d’une membrane et continuent à osciller et à se multiplier indépendamment de la cellule. Ils peuvent donc devenir des cellules néoplasiques.

Exemples de résultats obtenus :

Citons Georges LAKHOVSKY : « Dans tous les cas pathogènes, ce traitement donne de très bons résultats. Ne s’attaquant pas au microbe directement, il ne détruit pas les tissus vivants. Mais au contraire il renforce la vitalité de l’organisme par l’accélération de l’oscillation cellulaire : c’est donc la résistance de l’organisme ainsi renforcé qui lutte victorieusement contre le microbe et toute cause pathogène. Ainsi, les radiations de haute fréquence (ondes courtes) appliquées à distance et sans effet thermique guérissent les maladies de toutes sortes, voire même les affections de la prostate dans une proportion considérable (presque cent pour cent). Quelle que soit la cause pathogène qui affecte le malade, ce dernier trouve dans le champ de l’oscillateur à ondes multiples toutes les fréquences nécessaires pour rétablir l’équilibre oscillatoire cellulaire ».
Georges LAKHOVSKY  poursuivait : « De même avec cet appareil, on peut obtenir des résultats très intéressants en excitant le sympathique. Il suffit, pour cela, de promener le long de la colonne vertébrale une électrode terminée par un petit disque métallique. Ce traitement qui renforce la vibration des cellules nerveuses, détermine la sécrétion des glandes endocrines et permet d’obtenir des résultats vraiment remarquables dans des affections organiques graves (maladies du foie, des reins, du tube gastrique et même des tumeurs cancéreuses) ».
Transparent dans sa communication, Georges LAKHOVSKY précisait : « il ne faudrait pas croire que mon oscillateur peut guérir tous les cancéreux, quel que soit leur état. Dans divers cas, la tumeur cancéreuse ayant détruit un certain nombre de vaisseaux, mon appareil est impuissant à reconstituer le tissu de ces vaisseaux avant que survienne une hémorragie fatale. À l’appui de ce phénomène, je vous citerai trois cas, qui constituent les trois échecs que j’ai éprouvés au cours des innombrables traitements que j’ai faits avec l’OLOM :

  1. Le 1er décembre 1931, on me présentait à l’hôpital Saint- Louis un malade dont le diagnostic révélait un néoplasme de la langue et de la bouche avec induration, œdème et ganglions, qui déclarait souffrir beaucoup et qui ne pouvait pas se nourrir. On le traita avec mon oscillateur à ondes multiples en quatre séances les 8, 10, 12 et 15 décembre. Après la quatrième séance, les régions indurées sous-maxillaires se sont ramollies et le malade a déclaré qu’il ne souffrait presque plus et pouvait se nourrir. Lorsque j’arrivai pour la cinquième séance l’infirmière m’annonça que ce malade était couché avec une forte hémorragie à laquelle il succomba peu après.
  2. Quinze jours après, on me présenta un nouveau malade dont le diagnostic était sensiblement le même. Il fut traité avec mon appareil. Après la quatrième séance, il déclara qu’il pouvait absorber les aliments plus facilement, qu’il souffrait beaucoup moins et je constatai que les régions indurées devenaient plus souples. Lorsque j’arrivai pour la cinquième séance, l’infirmière, comme dans le cas précédent, me dit que le malade était au lit avec une forte hémorragie dont il ne se remit pas.
  3. Le même phénomène a été constaté dans un autre cas. En novembre 1931 le, au Val de grâce, un malade atteint d’un cancer sur la partie supérieure du thorax. Au bout de trois à quatre séances, il commença à se sentir mieux et me déclara qu’il souffrait beaucoup moins, qu’il pouvait dormir la nuit. Au bout de cinq ou six séances, la souffrance disparaissait entièrement. La main droite qui, depuis fort longtemps était complètement paralysée, pouvait désormais effectuer tous les mouvements sans la moindre gêne…Un moment arriva où presque toute la tumeur était disparue… Dans le courant du mois de janvier 1932, ce malade était décédé d’une hémorragie foudroyante ».

La cause de ces échecs réside dans le fait que suite à l’action positive de l’OLOM, la pression du sang libérée a provoqué une hémorragie. On peut comparer ce phénomène à ce qui se passe pour une conduite d’eau ou pour un radiateur gelé. Pendant le gel la consistance de la glace empêche la circulation de l’eau et aucune fuite ne se produit. Mais, lorsque le dégel arrive, les tuyaux ayant été fendus pendant la gelée, l’eau se met à fuir.
C’est d’ailleurs la fin classique de tous les cancéreux dont le néoplasme a détruit sur une certaine longueur des vaisseaux et artères importants. Il en résulte toujours des hémorragies externes et même internes, qui en s’infiltrant dans les tissus, provoquent des métastases et un déséquilibre de l’organisme.
Toutefois, Georges LAKHOVSKY  estimait que dans ces cas désespérés, l’oscillateur à ondes multiples exerçait une action bienfaisante, puisque ces malades, qui étaient condamnés à mourir dans d’atroces souffrances, s’éteignaient presque sans douleur et sans appréhension.
Georges LAKHOVSKY a commencé les applications de son oscillateur à longueurs d’onde multiples dans divers hôpitaux de Paris : Hôpital Saint-Louis, Val de grâce, Calvaire, Hôpital Necker, Dispensaire franco-britannique, laboratoires de la Fédération Nationale des blessés du poumon et Institut de Physique Biologique. À l’étranger, cet appareil est déjà utilisé avec succès en Italie, en Espagne, en Belgique, en Hollande, en Suède, en Uruguay, en Argentine, en Grèce, aux États-Unis.

Prophylaxie et conclusion

Georges LAKHOVSKY expliquait l’utilité de l’OLOM au point de vue prophylactique : «  En s’exposant au rayonnement de l’appareil une fois tous les quinze jours, on est à peu près assuré d’éviter non seulement les rhumes et les grippes, mais encore les maladies organiques et même le cancer, et l’on renforce l’organisme de manière qu’il puisse lutter victorieusement contre toute cause pathogène. Enfin, cet appareil ne présente aucun danger étant donné que tous ses rayonnements sont électrostatiques, ne chauffent ni ne brûlent les tissus et ne risquent pas de les détruire. Son action est purement électrique… »
Pour conclure, Georges LAKHOVSKY  résumait librement le fond de son expérience personnelle qui représentait un effort de quatorze années de travaux et de recherches : « Les cellules vivantes qui composent tout tissu végétal et animal sont des organismes élémentaires très ténus et très fragiles. Les moindres variations des conditions physiques peuvent parfois les détruire, en particulier une élévation de température de quelques degrés. Nous savons que la fièvre, lorsqu’elle est trop forte, peut tuer un homme. Certains résistent jusqu’à 41° de température. Pour d’autres, la mort survient à 39,5 ° seulement ».
Pourquoi ?
Rappelons que tous les éléments cellulaires, notamment les chromosomes et les chondriomes, composant chaque cellule vivante, dont ils sont les constituants essentiels, se présentent sous la forme de petits filaments tubulaires. L’enveloppe de ces filaments est une matière diélectrique dont l’épaisseur est très fine, donc extrêmement fragile. Or ces substances diélectriques sont fusibles à des températures variables, mais toujours assez basses. Selon la composition de cette enveloppe tubulaire, la résistance à la chaleur sera plus ou moins grande.
Lorsque l’individu est en équilibre, les constantes physiques et chimiques restent stables. En particulier la température qui traduit un état de bonne santé est constante à 37 ° et il ne subit pas les variations de la température ambiante. Par contre, dès que nous sommes morts, notre corps prend la température ambiante, comme n’importe quelle matière inerte, du fait que ses cellules ont cessé d’osciller électriquement.
Ce constat confirme bien la théorie de l’oscillation cellulaire de Georges LAKHOVSKY. En l’espèce, que les chondriomes, chromosomes et autres sont le siège de courants induits par les ondes cosmiques, telluriques et atmosphériques, quelle que soit la température ambiante de notre corps.

L’Olom de nos jours.

Brigitte BOUTEILLER, enseignante, écrit dans son livre « LAKHOVSKY LE GÉNIE DES ANNEAUX » que : « L’enthousiasme des fervents de LAKHOVSKY n’a pas disparu. Depuis quinze ans, quelques centaines d’oscillateurs LAKHOVSKY sont réutilisés par des vétérinaires, des médecins, des chirurgiens et d’autres praticiens diplômés et qualifiés sur de nombreuses pathologies, essentiellement en Allemagne, Autriche, Belgique, Canada, Espagne, États-Unis, Fédération de Russie, Iles du Pacifique, Luxembourg, Italie, Maroc, Portugal, Philippines, République de San Marin, Monaco, Suisse et Mexique ».
L’oscillateur à longueurs d’ondes multiples que j’utilise à usage exclusif de restauration de l’oscillation cellulaire a été fabriqué par Guy THIEUX, qui est l’un des grands témoins de l’œuvre de LAKHOWSKY. Les générateurs hautes fréquences qui l’équipent pour alimenter les diffuseurs d’ondes multiples sont de la marque Holo-électron et génèrent un courant de 20 kilohertz. Ils possèdent le label CE.

SOURCES :
Dr. Philippe Lagarde, spécialiste en oncologie et en stomatologie. « Aujourd’hui, si vous parlez de Lakhovsky à certains médecins, vous êtes brûlés sur la place du village. »
Brigitte Bouteiller Lakhovsky – Le génie des anneaux. Santé, résonance et circuits oscillants.
Dr. Jean-Louis Portes – sa thèse de médecine s’intitule La Vie et l’œuvre de Lakhovsky, soutenue en 1984 à l’Université Pierre & Marie Curie – Faculté de Médecine Pitié Salpêtrière.
Georges Lakhovsky – L’origine de la vie – Radiations et ondes Sources de vie – Les Ondes qui guérissent- Le Secret de la Vie – La Terre et Nous – L’oscillation cellulaire…

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