En 1931, Georges LAKHOVSKY concevait l’oscillateur à longueurs d’ondes multiples (OLOM). Il écrivait :
« … je suis arrivé à construire un appareil qui crée un champ électrostatique, dans lequel se trouvent toutes les fréquences, depuis 3 mètres jusqu’à l’infra-rouge. De sorte que dans ce champ, chaque cellule peut trouver sa fréquence propre pour vibrer en résonance…».
Cet oscillateur à longueurs d’ondes multiples est le fruit de sa théorie de l’oscillation cellulaire : « toute cellule vivante est composée de deux éléments essentiels : le noyau et le protoplasme. Le noyau formé de chromosomes(**) est chargé positivement. Il est alcalin (pH > 7) et baigne dans le protoplasme chargé négativement, qui est acide (pH < 7) et formé de chondriomes (*) ».
(*) Chondriomes (organites – mitochondries)
(**) Chromosomes (élément du noyau de la cellule composé d’ADN dont des fragments forment les gènes).
Mon usage de l’oscillateur à longueurs d’ondes multiples s’inscrit exclusivement dans une démarche préventive sans visée curative, comme outil de restauration de l’équilibre oscillatoire. Il doit permettre aux utilisateurs d’envisager leur santé à travers le maintien d’une homéostasie vibratoire et non plus sous un angle purement biochimique.
Il repose sur cette affirmation du Professeur HERZOG, expert médical le plus pointu de son vivant dans le domaine de la biophysique, que :
« …l’utilisation des résonances vibratoires sur l’ensemble des noyaux des cellules humaines apporte au thérapeute des armes nouvelles en harmonie avec la nature même du corps des patients… »
Pour des informations plus détaillées sur l’oscillateur à longueurs d’ondes multiples et la théorie de l’oscillation cellulaire, vous pouvez consulter les livres de Georges LAKHOVSKY
https://www.isira.fr/wp-content/uploads/2023/04/l-oscillation-cellulaire-g-lakhovsky.pdf
https://www.isira.fr/wp-content/uploads/2023/04/LakhovskySecretdelaVie.pdf
Ces ouvrages développent sa théorie et rassemblent l’ensemble des recherches expérimentales sur la thérapie à base de circuit oscillant réalisées en France et dans d’autres pays (Italie, Allemagne, Autriche, Grèce, États-Unis, etc.). Et aussi, des témoignages d’ex-patients, des observations de médecins français et étrangers qui convergent sur l’efficacité de cette thérapie pour traiter : ulcères, tumeur, œdèmes, douleur, fatigue, asthme, rhumatisme, anémie, névralgies, angines, lymphangite, hémophilie, stérilité, impuissance, cancer, etc… Le pape Pie IX bénéficia en son temps de cette thérapie.
En France, cette théorie fut expérimentée et vérifiée dans différents hôpitaux et centres de recherches de Paris (la Salpêtrière, Saint-Louis, Val-de-Grâce, Calvaire, Necker, Dispensaire franco-britannique, Laboratoire de la Fédération Nationale des blessés du poumon, Institut de Physique Biologique) avec des résultats remarquables.
Le milieu scientifique de l’époque n’encouragea pas cette voie thérapeutique. À chacun de se faire une opinion.
Qu’en est-il aujourd’hui ?
Ces dernières années, l’étude des champs électromagnétiques (CEM) sur les mécanismes moléculaires et leur possible application thérapeutique sur les êtres humains a considérablement été développée. C’est ainsi que l’on a étudié l’effet des champs électromagnétiques (CEM) sur le PH intracellulaire, la localisation des protéines et leur capacité de traverser la membrane cellulaire.
Voici ci-après quelques positions de scientifiques renommés :
Les recherches les plus avancées nous ramènent au professeur Luc Montagnier qui affirme suite à ses expériences : « Nous avons découvert que l’ADN de virus ou de bactéries émettent des ondes électromagnétiques.» Il précise également : « Ce sont en général les bactéries pathogènes qui émettent des signaux. Les bactéries non pathogènes n’en émettent pas.
Le groupe du Dr PASCHE trouve dans les champs électromagnétiques (CEM) certaines fréquences spécifiques capables de stabiliser la progression de la maladie chez certains cancéreux. (Pasche Lab – Recherche principalement axée sur la susceptibilité au cancer et les champs électromagnétiques radiofréquences modulés en amplitude)
Les chercheurs russes des années 70 (STSCHURIN, KAZNACHEEV, MICHAILOVA) ont constaté que l’intensité du rayonnement cellulaire changeait lorsque la cellule est agressée, endommagée ou qu’elle est sur le point de mourir.
Le docteur Nadine Schuster https://www.docteurnadineschuster.fr/le-parcours-du-docteur-nadine-schuster/ : « …Intégrer la mécanique quantique à la médecine permettrait de réparer les déséquilibres oscillatoires des cellules afin de ramener l’ordre au sein du tissu vivant… »
Je compléterais ces exemples en reproduisant le texte suivant rédigé par le Professeur Bernard HERZOG. Il résumait les conclusions d’études cliniques menées il y a moins de vingt ans, dont une portant sur soixante-dix cas de cancers traités avec l’oscillateur à longueurs d’ondes multiples :
« … Enfin, l’utilisation de ces résonances vibratoires sur l’ensemble des noyaux des cellules humaines apporte au thérapeute des armes nouvelles en harmonie avec la nature même du corps des patients. C’est pourquoi nous souhaitons que les oscillateurs à longueur d’ondes multiples se perfectionnent et trouvent la juste place qu’ils méritent dans l’arsenal thérapeutique médical actuel. »
Bernard HERZOG (1935-2021) Docteur en Médecine, spécialiste en électroradiologie, licencié ès Sciences (biologie, physiologie et chimie générale, physique et chimie biologique). Diplômé de psychothérapie.
Ancien chef de travaux de Biophysique, chef de service du Centre Hospitalier Universitaire de Nantes et professeur à la Faculté de Médecine de Nantes. Conférencier.
Important : L’OLOM est un appareil non médical, utilisé pour le bien-être des personnes, agissant exclusivement sur les plans informationnels et énergétiques. Pour tout problème de santé, je conseille vivement de consulter un médecin. L’action mise en œuvre par l’OLOM ne remplace en aucun cas un traitement médical prescrit par un médecin.